QUI SUIS-JE ?
GAËL BERNARD, PHOTOGRAPHE
Je me présente, je m’appelle Gaël Bernard, je suis un Auteur-Photographe rochelais basé sur Lyon. J’ai découvert cette discipline sur le tard, il y a trois ans plus exactement. Depuis, je suis pris d’une véritable passion pour celle-ci, à tel point que j’ai décidé d’en faire mon métier. Je vous laisse ainsi, me découvrir un peu plus dans les paragraphes à suivre.
II. APPRENTISSAGE
Dans un élan de curiosité, j’ai décidé de m’inscrire aux beaux-arts. Pendant ces deux années, j’ai été accompagné par monsieur David Falco, un photographe exigeant qui m’a toujours mis en face des réalités et m’a demandé dès le début ce que je souhaitais faire de la photographie. Me poussant constamment dans mes ressources personnelles, j’ai réussi à développer mon œil, ma sensibilité et ma créativité.



Autour de ce médium, ma perception du monde dans toute sa globalité fut complètement modifiée. C’est lors du premier confinement, alors que les jours passaient et se ressemblaient, que je me suis alors émerveillé d’autant plus de la photographie. Tous les jours, je découvrais de nouvelles facettes de mon habitat. L’esprit routinier qui berçait cette longue période où le monde était en pause s’est finalement avérée ne pas l’être, puisque pour pallier cet ennui naissant mon œil a commencé à s’affiner. Comme motif de survie, j’ai investi toute mon énergie dans la photographie. Et depuis cet instant, ma vie quotidienne butine tout autour de cette discipline.

IV. PROFESSIONNEL
Après avoir cultivé mes errances personnelles, approfondi la photographie des autres, découvert l’artisanat du développement argentique et étudier l’histoire de cette discipline. J’ai souhaité que celle-ci devienne mon métier. Pour accompagner cette décision, j’ai décidé de m’installer loin de tout, de ma famille, de mes amis et d’un certain confort dans lequel je vivais. Oui, c’est alors que je me suis installé dans la ville de Lyon.



Pourquoi Lyon me diriez-vous ? Simplement, car dans ce processus de création, je souhaitais évoluer dans une grande ville française et dans une région où j’avais encore tout à prouver. J’étais hors de ma zone de confort, afin de pouvoir vivre l’expérience la plus enrichissante possible.
Enfin, le 3 novembre 2021, après des mois de réflexion, mon entreprise vient d’être créée et elle porte mon nom. Maintenant, vous me connaissez un peu mieux et mon histoire ne fait que commencer.
I. RENCONTRE

Guidé par la nostalgie des moments de vacances en famille, ou à tour de rôle on se partageait l’appareil photo. J’ai découvert, émerveillé, le Verdon, ses paysages à couper le souffle mélangeant le gigantisme préhistorique et les petits villages traditionnels de la région. A ce jour, ce fut la découverte la plus fascinante qui m’ait été donnée de vivre.
En 2018, pendant une profonde remise en question sur ma voie personnelle et professionnelle, j’ai découvert la photographie. Lors d’un voyage organisé dans les gorges du Verdon j’ai pris la décision d’acheter mon premier appareil photo, un Pentax K30.

III. GENÈSE


A la sortie du confinement, je suis retourné vivre à Poitiers et dans une maison qui fut mon logement, j’ai investi le garage, afin que celui-ci devienne mon antre. Autour de ce cocon naissant, j’ai mis en place un studio de photographie, qui fut agrémenté par un musée de curiosité comme j’aimais l’appeler. Je l’alimentais fréquemment en objets divers dont je me servais pour accompagner mes portraits, le tout dans une dynamique curieuse et créative.
Par la suite, un laboratoire argentique a aussi vu le jour: couleur, noir et blanc, pellicule 135 et 120, tout y est passé. Et quel fut le plaisir, d’aller au bout du processus photographique ! De la prise de vue à l’impression, il n’y a rien de plus gratifiant que de voir la retranscription de son œil dans le réel.

Je faisais évoluer ma démarche photographique en m’investissant dans la compréhension de celle-ci : la chimie, les lumières, le portrait et l’histoire. J’étais empli d’une curiosité qui ne cessait de croître et l’envie de tout comprendre. Alors, après une année à m’investir personnellement, c’est dans une suite logique qui résonna comme une évidence que je me suis demandé si je devais passer le cap du métier-passion.
Je me présente, je m’appelle Gaël Bernard, je suis un Auteur-Photographe rochelais basé sur Lyon. J’ai découvert cette discipline sur le tard, il y a trois ans plus exactement. Depuis, je suis pris d’une véritable passion pour celle-ci, à tel point que j’ai décidé d’en faire mon métier. Je vous laisse ainsi, me découvrir un peu plus dans les paragraphes à suivre.
I. RENCONTRE

Guidé par la nostalgie des moments de vacances en famille, ou à tour de rôle on se partageait l’appareil photo. J’ai découvert, émerveillé, le Verdon, ses paysages à couper le souffle mélangeant le gigantisme préhistorique et les petits villages traditionnels de la région. A ce jour, ce fut la découverte la plus fascinante qui m’ait été donnée de vivre.
En 2018, pendant une profonde remise en question sur ma voie personnelle et professionnelle, j’ai découvert la photographie. Lors d’un voyage organisé dans les gorges du Verdon j’ai pris la décision d’acheter mon premier appareil photo, un Pentax K30.
II. APPRENTISSAGE
Dans un élan de curiosité, j’ai décidé de m’inscrire aux beaux-arts. Pendant ces deux années, j’ai été accompagné par monsieur David Falco, un photographe exigeant qui m’a toujours mis en face des réalités et m’a demandé dès le début ce que je souhaitais faire de la photographie. Me poussant constamment dans mes ressources personnelles, j’ai réussi à développer mon œil, ma sensibilité et ma créativité.



Autour de ce médium, ma perception du monde dans toute sa globalité fut complètement modifiée. C’est lors du premier confinement, alors que les jours passaient et se ressemblaient, que je me suis alors émerveillé d’autant plus de la photographie. Tous les jours, je découvrais de nouvelles facettes de mon habitat. L’esprit routinier qui berçait cette longue période où le monde était en pause s’est finalement avérée ne pas l’être, puisque pour pallier cet ennui naissant mon œil a commencé à s’affiner. Comme motif de survie, j’ai investi toute mon énergie dans la photographie. Et depuis cet instant, ma vie quotidienne butine tout autour de cette discipline.

III. GENÈSE
A la sortie du confinement, je suis retourné vivre à Poitiers et dans une maison qui fut mon logement, j’ai investi le garage, afin que celui-ci devienne mon antre. Autour de ce cocon naissant, j’ai mis en place un studio de photographie, qui fut agrémenté par un musée de curiosité comme j’aimais l’appeler. Je l’alimentais fréquemment en objets divers dont je me servais pour accompagner mes portraits, le tout dans une dynamique curieuse et créative.
Par la suite, un laboratoire argentique à aussi vu le jour: couleur, noir et blanc, pellicule 135 et 120, tout y est passé. Et quel fut le plaisir, d’aller au bout du processus photographique ! De la prise de vue à l’impression, il n’y a rien de plus gratifiant que de voir la retranscription de son œil dans le réel.

Je faisais évoluer ma démarche photographique en m’investissant dans la compréhension de celle-ci : la chimie, les lumières, le portrait et l’histoire. J’étais empli d’une curiosité qui ne cessait de croître et l’envie de tout comprendre. Alors, après une année à m’investir personnellement, c’est dans une suite logique qui résonna comme une évidence que je me suis demandé si je devais passer le cap du métier-passion.
IV. PROFESSIONNEL
Après avoir cultivé mes errances personnelles, approfondi la photographie des autres, découvert l’artisanat du développement argentique et étudier l’histoire de cette discipline. J’ai souhaité que celle-ci devienne mon métier. Pour accompagner cette décision, j’ai décidé de m’installer loin de tout, de ma famille, de mes amis et d’un certain confort dans lequel je vivais. Oui, c’est alors que je me suis installé dans la ville de Lyon.


Pourquoi Lyon me diriez-vous ? Simplement, car dans ce processus de création, je souhaitais évoluer dans une grande ville française et dans une région où j’avais encore tout à prouver. J’étais hors de ma zone de confort, afin de pouvoir vivre l’expérience la plus enrichissante possible.
Enfin, le 3 novembre 2021, après des mois de réflexion, mon entreprise vient d’être créée et elle porte mon nom. Maintenant, vous me connaissez un peu mieux et mon histoire ne fait que commencer.
MON UNIVERS
REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE
Bercé par l’imaginaire que je transmets avec mes portraits créatifs, je suis aussi habité par le réel. Authentique par essence, j’ai toujours eu le souhait d’interagir avec le palpable, afin de pouvoir comprendre le monde dans lequel je vis. Ma curiosité débordante et ma soif de savoir, m’ont orienté comme une évidence ce que je pouvais et ce que je souhaitais faire avec mon appareil photo. Je voulais que mon métier soit fait de découvertes enrichissantes, étonnantes. Je voulais que tout en travaillant, on puisse m’enseigner, m’apprendre et me faire découvrir quotidiennement.
La photographie de reportage me permet tout ça. Elle me permet de rencontrer des personnes passionnées, de me sentir concerné et connecté avec le monde qui m’entoure, de participer à la transmission d’un savoir faire, d’un moment, d’une histoire. Elle me permet tout ça, tous les jours. Et il n’y a rien de plus gratifiant, que d’avoir été acteur de la transmission.
Tout en restant à distance des projecteurs, j’ai toujours pensé qu’il était important de montrer ce qui se passait dans l’ombre. Cela crée une complicité, de la compréhension et une forme de sincérité avec le public. Sensibiliser les gens au travail artisanal est pour moi, la plus belle mission qui m’ait été donnée de remplir.
ERRANCES
J’aime cette position fantomatique que je prends lorsque je marche avec mon appareil photo. Tous mes sens sont éveillés, à la découverte du monde qui m’entoure. Le soleil guide mes pas, il m’offre des lignes, des reflets, des ombres, des lumières, une multitude de possibilités et c’est à moi de trouver les indices disposés dans chaque recoin. Je marche, je m’arrête, je découvre et je compose. J’essaie simplement de garder mon idée de la poésie, de la douceur et de l’harmonie dans mes images, tout en gardant un fil conducteur, afin de pouvoir créer par la suite différentes séries dans l’idée de pouvoir y raconter des histoires. Mes histoires.
PORTRAITS
Au début de mon parcours avec la photographie j’avais une idée fixe en tête et il était impensable que celle-ci puisse changer : je ne ferais jamais de portrait. J’étais resté bloqué par l’idée assez brutale du portrait de rue et du portrait d’inconnus. A la fois je n’avais pas le cran et je n’étais philosophiquement pas en accord avec la démarche.
Cependant, j’avais l’envie, plein d’envie et une multitude d’idées qui commençaient à germer dans mon esprit. Même dans mes errances, cela se voyait. En effet, c’est à ce moment la que j’ai commencé à distinguer des espaces vides sur mes
Alors, pour répondre à mes envies, j’ai décidé de créer mon propre environnement. J’ai mis en place un studio de photographie mobile. L’idée principale c’était de pouvoir libérer ma tête en créant des photos de portraits laissant place à mon imagination.
Au fur et à mesure, une certaine tendance est apparue. J’étais passionné par l’idée de faire des portraits cinématographiques, c’est-à-dire qui racontaient une histoire. Mon studio, lui qui m’avait fait découvrir tous les aspects classiques du portrait, ne me suffisait plus. Sa petite taille me bloquait alors, j’ai décidé de jongler sur différents tableaux : le studio, l’extérieur et l’intérieur.
MON UNIVERS
REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE
Bercé par l’imaginaire que je transmets avec mes portraits créatifs, je suis aussi habité par le réel. Authentique par essence, j’ai toujours eu le souhait d’interagir avec le palpable, afin de pouvoir comprendre le monde dans lequel je vis. Ma curiosité débordante et ma soif de savoir, m’ont orienté comme une évidence ce que je pouvais et ce que je souhaitais faire avec mon appareil photo. Je voulais que mon métier soit fait de découvertes enrichissantes, étonnantes. Je voulais que tout en travaillant, on puisse m’enseigner, m’apprendre et me faire découvrir quotidiennement.
La photographie de reportage me permet tout ça. Elle me permet de rencontrer des personnes passionnées, de me sentir concerné et connecté avec le monde qui m’entoure, de participer à la transmission d’un savoir faire, d’un moment, d’une histoire. Elle me permet tout ça, tous les jours. Et il n’y a rien de plus gratifiant, que d’avoir été acteur de la transmission.
Tout en restant à distance des projecteurs, j’ai toujours pensé qu’il était important de montrer ce qui se passait dans l’ombre. Cela crée une complicité, de la compréhension et une forme de sincérité avec le public. Sensibiliser les gens au travail artisanal est pour moi, la plus belle mission qui m’ait été donnée de remplir.
ERRANCES
J’aime cette position fantomatique que je prends lorsque je marche avec mon appareil photo. Tous mes sens sont éveillés, à la découverte du monde qui m’entoure. Le soleil guide mes pas, il m’offre des lignes, des reflets, des ombres, des lumières, une multitude de possibilités et c’est à moi de trouver les indices disposés dans chaque recoin. Je marche, je m’arrête, je découvre et je compose. J’essaie simplement de garder mon idée de la poésie, de la douceur et de l’harmonie dans mes images, tout en gardant un fil conducteur, afin de pouvoir créer par la suite différentes séries dans l’idée de pouvoir y raconter des histoires. Mes histoires.
PORTRAITS
Au début de mon parcours avec la photographie j’avais une idée fixe en tête et il était impensable que celle-ci puisse changer : je ne ferais jamais de portrait. J’étais resté bloqué par l’idée assez brutale du portrait de rue et du portrait d’inconnus. A la fois je n’avais pas le cran et je n’étais philosophiquement pas en accord avec la démarche.
Cependant, j’avais l’envie, plein d’envie et une multitude d’idées qui commençaient à germer dans mon esprit. Même dans mes errances, cela se voyait. En effet, c’est à ce moment la que j’ai commencé à distinguer des espaces vides sur mes photos : Il manquait un portrait.
Alors, pour répondre à mes envies, j’ai décidé de créer mon propre environnement. J’ai mis en place un studio de photographie mobile. L’idée principale c’était de pouvoir libérer ma tête en créant des photos de portraits laissant place à mon imagination.
Au fur et à mesure, une certaine tendance est apparue. J’étais passionné par l’idée de faire des portraits cinématographiques, c’est-à-dire qui racontaient une histoire. Mon studio, lui qui m’avait fait découvrir tous les aspects classiques du portrait, ne me suffisait plus. Sa petite taille me bloquait alors, j’ai décidé de jongler sur différents tableaux : le studio, l’extérieur et l’intérieur.