Notre journée s’écoulant, il me fit découvrir cette immense carrière barré par l’interdit que nous nous sommes empressé de franchir. En arrivant devant cette immense façade, jonché de pierre, une multitude d’idées sont apparut.. des couleurs bien distinctes, un jeu de lignes-dimenssionnel infini, un trône de gravats, une forme de gigantisme divin..
L’espace qu’il avait pour mettre ses pieds était minimes, proche du vide il est resté la devant moi, stoïc, déshumanisé, arrêté dans le temps. C’est exactement ce que je recherchais. Un portrait authentique, déjà photographié avec les yeux quelques secondes avant le déclenchement.
Accompagné devant l’objectif, par ce textile fluide et transparent aux couleurs rougeâtres. Donnant alors ce côté ancien, dédoublant de quelques millimètre le réel et apportant un côté vaporeux, comme un rêve. Cette expérimentation, je dois l’avouer très encombrante, m’a séduit lorsque je l’avais découvert un mois plutôt en studio, elle apporte des nuances de couleurs rappelant celle que nous pourrions retrouver grâce à une pellicule argentique.